C'est une réalité, la grossesse et l'accouchement peuvent entrainer des chocs, voire même des tensions chez l'enfant. Consulter votre ostéopathe est vivement conseillé. Dans un premier temps pour faire un bilan ostéopathique du bébé et ainsi s'assurer du fait qu'il ne souffre pas. Différents facteurs peuvent vous encourager à contacter un ostéopathe. D'autant plus en cas d'accouchement difficile ou d'enroulement du cordon. En complément du pédiatre, l'ostéopathe va examiner votre nouveau-né, repérer les déséquilibres, ainsi qu'intervenir de façon purement manuelle pour « aligner » le corps du bébé et réduire les tensions et les blocages qu'il pourrait observer. Mobilité du bassin et du sacrum, posture : il est essentiel d'examiner toutes les sources potentielles de dysfonctionnements.
Le très grand soin avec lequel un ostéopathe manipule les nourrissons exclut tout risque d'expérience éprouvante. L'ostéopathie peut, selon vous, interférer avec la médecine traditionnelle ? En réalité, c'est tout le contraire, son champ d'action fait d'elle une discipline complémentaire plus qu'un traitement alternatif ou contradictoire. Sans plus hésiter, vous pouvez aller voir un ostéopathe. Un nourrisson qui penche la tête d'un côté ou qui présente des troubles gastro-intestinaux : voilà les raisons de consultation les plus courantes. Parmi les raisons possibles d'un aplatissement du crâne, l'une des plus fréquentes est le torticolis. L'origine de la déformation s'identifie donc clairement : penchée en permanence du même côté, la tête va avoir tendance à se déformer. Il est ensuite crucial de déterminer à quand remonte le phénomène et comment ce dernier est apparu.
Les tout-petits sont sensibles aux régurgitations et aux coliques. Vous vous en doutez, de nombreux autres symptômes peuvent apparaître chez le nourrisson. On citera par exemple les mauvaises postures du dos ou des pieds ou le canal lacrymal obstrué. Face à une telle situation, il est souhaitable de consulter afin de traiter le problème. L'efficacité de l'ostéopathie pédiatrique n'est plus à prouver. Pour le bien-être de votre nourrisson, n'hésitez pas à consulter. De surcroît, un professionnel de l'ostéopathie vous conseillera pour vous aider à garantir un confort de vie idéal à votre nourrisson. Un nombre limité de séances suffit le plus souvent à mettre fin aux problèmes que peuvent rencontrer les nouveau-nés.
Fait rassurant, il faut savoir qu'un cadre très strict régit l'ostéopathie dans l'Hexagone. En effet, cinq ans d'apprentissage au sein d'un établissement homologué par le gouvernement sont imposés pour pouvoir exercer en toute légalité des soins ostéopathiques sur les nouveau-nés. C'est seulement après ce parcours que le praticien peut obtenir le Diplôme d'Ostéopathie lui permettant d'exercer cette activité.
C'est une réalité, la grossesse et l'accouchement peuvent entrainer des chocs, voire même des tensions chez l'enfant. Consulter votre ostéopathe est vivement conseillé. Dans un premier temps pour faire un bilan ostéopathique du bébé et ainsi s'assurer du fait qu'il ne souffre pas. Différents facteurs peuvent vous encourager à contacter un ostéopathe. D'autant plus en cas d'accouchement difficile ou d'enroulement du cordon. En complément du pédiatre, l'ostéopathe va examiner votre nouveau-né, repérer les déséquilibres, ainsi qu'intervenir de façon purement manuelle pour « aligner » le corps du bébé et réduire les tensions et les blocages qu'il pourrait observer. Mobilité du bassin et du sacrum, posture : il est essentiel d'examiner toutes les sources potentielles de dysfonctionnements.
