C'est une évidence, l'accouchement et la grossesse entraînent potentiellement des contraintes, des traumatismes, voire des chocs chez le nouveau-né. Un bilan ostéopathique est vivement conseillé pour votre nourrisson dès ses premières semaines de vie. Césarienne, utilisation de forceps : toutes ces situations nécessitent plus particulièrement l'intervention d'un ostéopathe qui examinera votre nourrisson. En complément du pédiatre, le spécialiste de l'ostéopathie va en effet examiner votre nourrisson, intervenir de façon strictement manuelle et identifier les déséquilibres afin de soulager les tensions et les blocages qu'il pourrait remarquer et « d'aligner » le corps du bébé. Mais avant d'agir, comment le spécialiste pose-t-il son diagnostic ? Tout simplement en portant toute son attention sur la mobilité de votre nourrisson.
Votre bébé n'est exposé à aucun traumatisme avec les manipulations d'un ostéopathe, puisqu'elles ne sont pas intrusives, au contraire. En effet, l'ostéopathie fournit une vision clinique parfaitement complémentaire de la médecine traditionnelle. Avez-vous songé à faire examiner votre tout-petit par un praticien ? Les symptômes qui doivent vous alerter : une bronchiolite ou des troubles du sommeil, par exemple. Entre les causes probables d'une tête à la forme aplatie, on peut indiquer la plus récurrente : le torticolis. Cela entraînera la tête à être tournée en permanence du même côté, ayant pour conséquence une tête plus ou moins aplatie du côté où les cervicales restent bloquées. Il est alors essentiel de savoir à quelle date et de quelle manière est apparu le phénomène.
Parmi les troubles les moins agréables et qui risquent parfois de faire souffrir votre enfant, il y a les problèmes gastro-intestinaux. Ceux-ci provoquent beaucoup de pleurs ! Vous vous en doutez, il y a une multitude d'autres symptômes qui peuvent survenir chez les tout-petits. Dans la liste des affections répandues, on remarque en particulier des problèmes de posture, un sommeil perturbé, etc. Il est indispensable de prendre en charge rapidement ces problèmes. L'aide que peut vous apporter l'ostéopathie ne fait aucun doute. Votre praticien sera en mesure de vous donner plein d'astuces et de conseils. Nul besoin de prévoir un grand nombre de séances pour les nouveau-nés. Quelques séances sont la plupart du temps suffisantes pour régler leurs souffrances.
Et enfin, n'oubliez pas que l'ostéopathie constitue une discipline reconnue dont la pratique est soumise à un encadrement rigoureux. Effectivement, cinq ans d'études dans une école reconnue par le ministère de la Santé sont exigés pour pouvoir exercer légalement des soins ostéopathiques sur les bébés. Ce n'est qu'après cet apprentissage que le praticien peut espérer obtenir le DO (Diplôme d'Ostéopathie) lui permettant de pratiquer cette activité.
C'est une évidence, l'accouchement et la grossesse entraînent potentiellement des contraintes, des traumatismes, voire des chocs chez le nouveau-né. Un bilan ostéopathique est vivement conseillé pour votre nourrisson dès ses premières semaines de vie. Césarienne, utilisation de forceps : toutes ces situations nécessitent plus particulièrement l'intervention d'un ostéopathe qui examinera votre nourrisson. En complément du pédiatre, le spécialiste de l'ostéopathie va en effet examiner votre nourrisson, intervenir de façon strictement manuelle et identifier les déséquilibres afin de soulager les tensions et les blocages qu'il pourrait remarquer et « d'aligner » le corps du bébé. Mais avant d'agir, comment le spécialiste pose-t-il son diagnostic ? Tout simplement en portant toute son attention sur la mobilité de votre nourrisson.
