L’ostéopathe, une aide à l’accouchement
Saviez-vous que l’ostéopathie pouvait aussi à faciliter l’accouchement ? En effet, l’ostéopathe peut intervenir tout au long de la grossesse, mais son rôle peut aussi s’étendre à la salle de naissance. Nous vous expliquons comment votre ostéopathe intervient pendant un accouchement.
L’ostéopathie, pour un accouchement naturel
De plus en plus de femmes envisagent de faire appel à un ostéopathe pour faciliter leur accouchement. Comme le souligne le gynécologue et obstétricien Gérard Héluin, l’ostéopathie permet dans de nombreux cas de faciliter un accouchement naturel. Pour en savoir plus sur l’ostéopathie comme préparation à l’accouchement, consulter notre article Le rôle de l’ostéopathie en préparation à l’accouchement.
L’ostéopathie pour éviter une césarienne
C’est par exemple le cas lorsque le bébé ne descend pas correctement au cours du travail. Pour diverses raisons, le travail peut se stopper. C’est là que l’intervention de l’ostéopathe est essentielle. La césarienne, autrefois inévitable, peut-être évitée grâce à l’intervention de l’ostéopathe, qui va faciliter la poursuite de la dilatation et/ou la descente de l’enfant dans le bassin. Bien entendu, cette intervention s’effectue en accord avec l’obstétricien et la sage-femme.
Stimuler la qualité et l’intensité des contractions
L’intervention de l’ostéopathe dure environ une heure. Le praticien stimule les contractions en agissant sur le bassin et sur la musculature de la patiente. En cas de problème persistant, les médecins décideront tout de même de pratiquer une césarienne. L’ostéopathe est de plus en présent dans les salles d’accouchement, car ses interventions ne peuvent qu’améliorer la situation des femmes. Précision : l’intervention de l’ostéopathe n’est envisagée que si le fœtus va parfaitement bien et qu’il n’y a pas d’urgence. Nous vous recommandons notre article sur l’ostéopathie pour soigner vos cicatrices, pour trouver des solutions pour vous soulager après une césarienne. Pour plus d’infos, vous trouverez ici l’article de Gérard Héluin, gynécologue et obstétricien